Je porte ce projet depuis longtemps, presque sans m’en rendre compte, parce qu’il est né bien avant moi. Il vient de cette cantine rurale que tenait ma grand-mère, en Franche-Comté, un lieu simple et vivant où tout le village se retrouvait pour partager plus qu’un repas : des moments, du travail, des rires, un peu de vie.

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En grandissant, j’ai compris que cet esprit-là ne m’avait jamais quitté.

Cette façon de recevoir, de cuisiner, de travailler avec passion et sincérité… c’est dans mes racines.

Alors quand j’ai décidé de créer mon restaurant, j’ai voulu offrir quelque chose de vrai.

Un lieu où l’on se sent accueilli, où l’on goûte la transmission, où famille, travail et passion ne sont pas des mots, mais une ambiance.

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J’ai choisi de l’appeler Ômaje.

C’est un hommage bien sûr — un hommage à celles et ceux qui m’ont transmis ces valeurs — mais c’est aussi un mot qui raconte mon histoire :
Ma, pour Marc, mon père.
Je, pour Jeannine, ma mère.

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Ômaje, c’est ma façon de faire vivre ce qui m’a construit.
Et de le partager avec vous. »*